Les personnels enseignants de l’académie de Nice sont choqués après les écrits publiés à la une du quotidien Nice-Matin du vendredi 1er juin.

Comment une journaliste professionnelle peut-elle écrire des mensonges et de telles contre vérités au sujet d’un examen aussi important que le baccalauréat ? L’accusation est grave : reprochez à un enseignant de ne pas avoir enseigné le bon programme comme cela est affirmé à la une du quotidien sans même prendre la peine de vérifier cette « information » auprès des autorités compétentes ne mérite qu’un zéro pointé !

Il faut savoir que certaines épreuves du bac STG (sciences et techniques de gestion) ont été modifiées sur la forme à cette rentrée et que ces changements, qui ne concernent en rien le contenu des enseignements, sont mis progressivement en œuvre avec le souci de l’équité dans le traitement de chaque candidat.

On ne peut que s’étonner qu’une présentation différente d’un dossier fasse l’objet d’une telle médiatisation et soit présentée à la une d’un quotidien régional comme un « retentissant raté » !

On ne peut que souhaiter que le « sérieux » réclamé pour l’examen du baccalauréat s’applique aussi aux articles publiés dans la presse régionale.

Richard GHIS