Le ministère indique que les mesures de revalorisation des salaires prévues pour janvier 2017 seront, en réalité, retardées jusqu’en mars 2017 (avec effet rétroactif et rattrapage des sommes dues depuis le 1er janvier 2017).
Les raisons de cet inacceptable cafouillage résident dans l’impréparation technique de la mise en œuvre des mesures de revalorisation, dont la responsabilité échoit à la ministre de la Fonction publique (particulièrement : DGAFP) et au ministre des Finances. Mais le ministère de l’Éducation nationale, le découvrant seulement courant janvier au moment de l’établissement de la paye, n’a pas anticipé les difficultés prévisibles.