Le Second degré à PARIS !

Et aussi à Nice et à Aix-en-Provence !

Parce que nous ne voulons pas de cette école-là !

Parce que nous portons un projet pour l’avenir de l’éducation et de la jeunesse !

Le SNES-FSU organise ce déplacement pour Paris en TGV. Il reste encore quelques places.

mail : s3nic@snes.edu téléphone 04 97 11 81 53 du lundi au vendredi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h.

  • Départ de Nice : 6h35 (avec arrêt à Antibes à 6h54, à Cannes à 7h05, à Saint-Raphaël à 7h29) - Arrivée à Paris gare de Lyon : 12h15
  • Départ de Toulon : 7h19, arrivée à Paris gare de Lyon : 11h31
  • Retour Paris gare de Lyon : 17h42 (avec arrêt à Toulon à 21h37, à Saint-Raphaël à 22h27, à Cannes à 22h51, à Nice à 23h30)

Collecte pour le TGV : Participez à la collecte pour aider au financement du déplacement de la délégation académique.

Pour celles et ceux qui ne pourront être à Paris, nombre de places à disposition limité, le SNES-FSU appelle les personnels à participer aux manifestations de Nice (14h place Garibaldi) et d’Aix en Provence (11h devant le rectorat).

Pour cette dernière, deux bus -un à Draguignan et un à Toulon- sont prévus pour le déplacement des manifestants. Le transporteur demande une liste nominative : il est impératif que vous vous inscriviez rapidement par mail au s2toulon@wanadoo.fr ou à la fsu83@fsu.fr, indiquez à chaque fois si le départ se fait de Toulon, du Muy, de Brignoles ou de Draguignan.

Ce sera là aussi l’occasion de dénoncer la politique éducative que nous subissons.
Départ de Toulon à 9h30 gare routière, retour à Toulon à 15h30,
Départ de Draguignan à 9h15 devant le collège Ferrié (arrêt au péage du Muy à 9h30, au péage de Brignoles à 10h), retour sur Draguignan à 15h30.

Parce que nous ne voulons pas de cette école-là !

Parce que nous portons un projet pour l’avenir de l’éducation et de la jeunesse !

La politique de transformation idéologique de l’école touche au cœur même de notre identité professionnelle et de nos missions de service public. Tout ce qui fait le sens et la nature même de nos métiers est systématiquement remis en cause : bivalence en collège avec l’école du socle, l’évaluation pédagogique des enseignants par le seul chef d’établissement, les petites phrases sur le temps de travail des enseignants, mutations soumises à l’arbitraire des hiérarchies intermédiaires, destruction du service public d’orientation et mise à mal des vies scolaires, de leurs personnels…

Depuis les élections législatives des 10 et 17 juin 2007, les seize députés de notre académie (7 pour le Var et 9 pour les Alpes-Maritimes) ont voté les budgets de l’Éducation nationale 2008, 2009, 2010 et 2011, supprimant plus de 56000 emplois.

Pour l’ensemble de l’académie, de la rentrée 2007 à 2011, pour une baisse de 0,2% du nombre d’élèves, les dotations totales dans les établissements ont baissé de 1%, soit 5 fois plus. Les heures poste ont baissé de 4,9%, ce qui correspond à l’équivalent de 529,2 emplois. Les heures supplémentaires ont augmenté de 72,4% !

Dès la rentrée, le SNES avait appelé les collègues à la grève le 6 septembre pour exprimer par une action exceptionnelle le rejet de la politique éducative et budgétaire du gouvernement.
Cette lutte contre la destruction organisée du service public d’Éducation doit se poursuivre après la grève majoritaire du 10 février à l’appel du SNES et de la FSU.

C’est pourquoi, dans le cadre de la journée nationale unitaire d’actions du samedi 19 mars, le SNES appelle les collègues du Second degré à monter massivement à Paris pour défendre le Second degré, l’avenir de nos élèves et nos métiers.